LE STUDIO DU TEMPS - Dispositif national de traitement des archives sonores
1991-10-01
Le Studio du Temps a été lancé par le compositeur Nicolas Frize en 1991, avec le soutien des ministères de la Culture et de la justice, de la Caisse des Dépôts et Consignations, de la Fondation de France, de la Fondation France-Liberté… un dispositif un peu inouï à la maison centrale de Saint-Maur (Indre), qui associe de façon très organique une formation aux métiers du son, des activités culturelles et artistiques et une filière d’emploi : la numérisation d’archives sonores.
Le cadre, très professionnel, comprend 13 cabines de numérisation, isolées, climatisées, sur dalles flottantes et fortement équipées (tous les supports peuvent y être traités : bandes magnétiques, cassettes analogiques, cassettes DAT, disques vinyles…), 2 salles de formation, 2 studios de création...
Plus de 150 personnes détenues ont été formées (formateurs choisis à l’INA, à l’ENSATT, au CFPTS, à Radio-France, à l’Ecole Louis-Lumière…) et ont travaillés dans ce dispositif pilote, avec une réussite totale en matière de réparation et d’insertion.
Sur 600m2 implantés dans les ateliers de cet établissement pour longues peines et au milieu de ce gigantesque chantier de numérisation d’archives sonores publiques, sont organisés des évènements artistiques majeurs ponctuels avec diverses institutions comme par exemple Le Louvre, Radio-France, les Beaux-Arts de Bourges, la Scène nationale de Châteauroux…
Ce complexe professionnel prend en charge depuis 34 ans la numérisation des archives de l’INA (France Culture, France Musique, France Inter, RFI...), celles des Archives Nationales, et celles de nombre d’institutions publiques, comme le Musée d’Orsay, le Musée de l’Homme, le Centre Georges-Pompidou, le Conseil Régional de Picardie, le Centre de Documentation de la Musique contemporaine, le CNSM de Lyon et quelques collections patrimoniales «personnelles», comme les Arts Florissants de William Christie, Yannis Xénakis…
L’objectif est d’être une antenne de service public au bénéfice des fonds musicaux et radiophoniques, de sauver les supports fragiles ou en danger d’oubli, de valoriser les contenus musicaux, sonores et parlés, de mettre la culture et le travail sur le son au service de personnes en trajectoire de réhabilitation (certains ont obtenu leur diplôme de technicien son par la VAE depuis l’intérieur).
La priorité a été jusqu’à présent de se mettre au service essentiellement des fonds publics, dans des relations de partenariat et non de prestataire de service.
Avec des moyens réduits l’an prochain, la majorité de la numérisation de ses fonds achevée, l’INA va se consacrer à la restauration en vue de l’édition. La coopération du Studio du Temps avec l’INA s’achèvera donc en 2025.
La mission du Studio du Temps ne sera cependant jamais achevée, d’autres fonds publics non numérisés subsistent, qui demandent à être sauvegardés et valorisés.
L’année 2025 cherche à s’ouvrir à d’autres fonds, radiophoniques (radios associatives), musicaux (archives des Médiathèques musicales), aux conservatoires (CNSM, Pôles Sup, CRR...), aux centres de musiques traditionnelles, aux médiathèques, aux Musées et diverses institutions publiques, à la BNF, aux archives régionales, départementales, communales...
Cadre professionnel
Le travail de transfert numérique est exécuté par des opérateurs qui sont immergés dans un contexte professionnel et culturel fort : indépendamment de leur formation de base et de leur longue expérience de plusieurs années, ils bénéficient durant trois semaines par an de modules de formation continue, et tout le long de l’année de journées professionnelles (rencontres avec des techniciens, des compositeurs…), ont la possibilité d’autres activités en qualité de techniciens son en alternance, disposent enfin d’un studio de production sonore pour mener des réalisations personnelles.
Ce cadre culturel particulier les maintient dans un rapport au travail dynamique et valorisé, propre à garantir leur investissement et à mobiliser sans cesse leur conscience professionnelle.
Encadrement
Les opérateurs, sur l’ensemble du site de numérisation, sont encadrés par :
- un directeur : Nicolas Frize, compositeur, formateur, auteur de nombreuses collections et mémoires sonores, et récemment encore responsable national du groupe de travail « Prisons » de la Ligue des Droits de l’Homme,
- une coordinatrice : Pauline Conscience responsable de l’encadrement, du suivi logistique, matériel et organisationnel du « Studio du Temps »,
- trois référents techniques : Thierry Geoffroy, directeur technique et ingénieur du son, spécialiste en audio numérique et informatique, Fabrice Gagneux, ingénieur en informatique et dirigeant de la société ProSystem, et Jean-Luc Denis, ingénieur électrotechnicien, spécialiste de la maintenance audio analogique (matériels Studer, Schlumberger… ).
Opérateurs
Les personnels techniques choisis, formés et salariés pour les prestations sont, sur le site de la Maison Centrale de Saint-Maur – Indre, entre 9 et 14 opérateurs (selon les prestations et années), dont certains sont en poste depuis plus de dix ans (en particulier sur la duplication des archives sonores de l’Ina), d’autres plus récemment engagés, ayant suivi de nombreux modules de formation professionnelle, généralistes ou spécialisés sur la question des archives.
Les Musiques de la Boulangère
Les activités sont multiples et ne concernent pas uniquement la numérisation d’archives sonores. Pour information et pour témoigner de la transversalité de ses compétences, les activités sont de trois ordres :
a. Production artistique
Une activité importante de la structure est de produire des œuvres musicales contemporaines et d’en organiser la diffusion, à travers de multiples représentations tant en France qu’à l’étranger.
b. Mémoire, archivage
Plusieurs preneurs de son ont mis en œuvre, au sein de la structure, la constitution au long terme de mémoires sonores, principalement de lieux de travail (Usine Renault, Centre de Recherche du Gaz de France, Gallay, Puiforcat, Hermès, Hôpital Delafontaine de Saint-Denis, les Archives Nationales, l’Usine PSA de Saint-Ouen, les imprimeries de la DILA, les rotatives Riccobono...) mais aussi à la demande de villes (Arras, Lyon, Saint-Denis…) ou d’organismes divers (collections de voix, événements…).
c. Études, recherches
L’association a mené un grand nombre de travaux théoriques sur des sujets touchant au son ou à la mémoire sonore pour le compte des ministères de l’Environnement et de l’Équipement, et réalisé un programme pédagogique « d’éveil à l’écoute et à l’environnement sonore » pour les ministères de l’Éducation Nationale et de l’Environnement.
d. Editions (sélection)
• Le Sens de la peine. État de l’idéologie carcérale, préface de Madeleine Rebérioux, Lignes-Léo Scheer, 2004
• Le travail incarcéré.Vues de prison, Syllepse, 2009
• L’Ouïe des villes. Récits d’un écouteur public, Les Productions du EFFA, 2023
• Le Studio du Temps. Ruptures, travail, créations : desserrer l’étau, postface d’Etienne Balibar, Lignes, 2024
Historique
Depuis 1991, l’ association Les Musiques de la Boulangère a répondu, en matière de duplication, de traitement du son ou de numérisation d’archives audio, aux commandes :
• de la phonothèque de l’Ina – de 1992 à 2024, (avec une reprise d’antériorité il y a quelques années pour le compte de l’Inathèque), sur des quantités passées, qui ont oscillé entre 7000 h et 11 000 heures annuelles.
• des Archives Nationales (de 2017 à 2024)
• des Archives du Département de la Loire Atlantique (2024)
• du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon (de 2017 à 2022) avec découpages documentaires, fournitures de fichiers spécifiques...
• du Musée d’Orsay (avec traitement thermique spécifique)
• de la Bibiothèque Kandinski du Centre Pompidou (avec traitement thermique)
• du Conseil Régional des Pyrénées Atlantiques
• du portail de la musique contemporaine (Sacem/Ircam/Cdmc…) : pour les archives des concerts de l’ensemble Ars Nova, l’ensemble Orchestral Contemporain, les ensembles l’Itinéraire, Aleph, Voix Nouvelles, 2e2m, les Percussions de Strasbourg,
• de l’ensemble « Les Arts Florissants » dirigé par William Christie (2010 à 2011)
• du Centre de Documentation de la Musique Contemporaine (Sacem) – 2005 à 2014
• du conseil général de l’Indre – 2010 à 2011
• de l’Université des Antilles et de la Guyane / CADEG-CNRS – 2010 à 2011
• du compositeur Georges Aperghis – 2008
• du Conseil Régional du Béarn – de 2007 à 2008
• du Musée de l’Homme – de 2002 à 2008
• du Musée National des Arts et Traditions Populaires - de 2000 à 2007,
• du Conseil Régional de Picardie – de 1999 à 2006,
• de la ville de Cergy-Pontoise – de 2001 à 2006,
• de la Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme – de 2000 à 2005
• du ministère de la Justice – de 2004 à 2005 (entretiens de magistrats ayant servi pendant la guerre d’Algérie),
• du Fonds pour la Mémoire de la Déportation et du Centre Historique des Archives Nationales – de 2004 à 2005,
• du CRBC de Bretagne – de 2001 à 2003,
• de la phonothèque de la Bibliothèque Nationale – de 1995 à 1996,
• ainsi qu’en matière de prestations sonores diverses, à des commandes de la Grande Arche de la Fraternité, du Festival de Saint-Denis, de France-Culture…
Le cadre, très professionnel, comprend 13 cabines de numérisation, isolées, climatisées, sur dalles flottantes et fortement équipées (tous les supports peuvent y être traités : bandes magnétiques, cassettes analogiques, cassettes DAT, disques vinyles…), 2 salles de formation, 2 studios de création...
Plus de 150 personnes détenues ont été formées (formateurs choisis à l’INA, à l’ENSATT, au CFPTS, à Radio-France, à l’Ecole Louis-Lumière…) et ont travaillés dans ce dispositif pilote, avec une réussite totale en matière de réparation et d’insertion.
Sur 600m2 implantés dans les ateliers de cet établissement pour longues peines et au milieu de ce gigantesque chantier de numérisation d’archives sonores publiques, sont organisés des évènements artistiques majeurs ponctuels avec diverses institutions comme par exemple Le Louvre, Radio-France, les Beaux-Arts de Bourges, la Scène nationale de Châteauroux…
Ce complexe professionnel prend en charge depuis 34 ans la numérisation des archives de l’INA (France Culture, France Musique, France Inter, RFI...), celles des Archives Nationales, et celles de nombre d’institutions publiques, comme le Musée d’Orsay, le Musée de l’Homme, le Centre Georges-Pompidou, le Conseil Régional de Picardie, le Centre de Documentation de la Musique contemporaine, le CNSM de Lyon et quelques collections patrimoniales «personnelles», comme les Arts Florissants de William Christie, Yannis Xénakis…
L’objectif est d’être une antenne de service public au bénéfice des fonds musicaux et radiophoniques, de sauver les supports fragiles ou en danger d’oubli, de valoriser les contenus musicaux, sonores et parlés, de mettre la culture et le travail sur le son au service de personnes en trajectoire de réhabilitation (certains ont obtenu leur diplôme de technicien son par la VAE depuis l’intérieur).
La priorité a été jusqu’à présent de se mettre au service essentiellement des fonds publics, dans des relations de partenariat et non de prestataire de service.
Avec des moyens réduits l’an prochain, la majorité de la numérisation de ses fonds achevée, l’INA va se consacrer à la restauration en vue de l’édition. La coopération du Studio du Temps avec l’INA s’achèvera donc en 2025.
La mission du Studio du Temps ne sera cependant jamais achevée, d’autres fonds publics non numérisés subsistent, qui demandent à être sauvegardés et valorisés.
L’année 2025 cherche à s’ouvrir à d’autres fonds, radiophoniques (radios associatives), musicaux (archives des Médiathèques musicales), aux conservatoires (CNSM, Pôles Sup, CRR...), aux centres de musiques traditionnelles, aux médiathèques, aux Musées et diverses institutions publiques, à la BNF, aux archives régionales, départementales, communales...
Cadre professionnel
Le travail de transfert numérique est exécuté par des opérateurs qui sont immergés dans un contexte professionnel et culturel fort : indépendamment de leur formation de base et de leur longue expérience de plusieurs années, ils bénéficient durant trois semaines par an de modules de formation continue, et tout le long de l’année de journées professionnelles (rencontres avec des techniciens, des compositeurs…), ont la possibilité d’autres activités en qualité de techniciens son en alternance, disposent enfin d’un studio de production sonore pour mener des réalisations personnelles.
Ce cadre culturel particulier les maintient dans un rapport au travail dynamique et valorisé, propre à garantir leur investissement et à mobiliser sans cesse leur conscience professionnelle.
Encadrement
Les opérateurs, sur l’ensemble du site de numérisation, sont encadrés par :
- un directeur : Nicolas Frize, compositeur, formateur, auteur de nombreuses collections et mémoires sonores, et récemment encore responsable national du groupe de travail « Prisons » de la Ligue des Droits de l’Homme,
- une coordinatrice : Pauline Conscience responsable de l’encadrement, du suivi logistique, matériel et organisationnel du « Studio du Temps »,
- trois référents techniques : Thierry Geoffroy, directeur technique et ingénieur du son, spécialiste en audio numérique et informatique, Fabrice Gagneux, ingénieur en informatique et dirigeant de la société ProSystem, et Jean-Luc Denis, ingénieur électrotechnicien, spécialiste de la maintenance audio analogique (matériels Studer, Schlumberger… ).
Opérateurs
Les personnels techniques choisis, formés et salariés pour les prestations sont, sur le site de la Maison Centrale de Saint-Maur – Indre, entre 9 et 14 opérateurs (selon les prestations et années), dont certains sont en poste depuis plus de dix ans (en particulier sur la duplication des archives sonores de l’Ina), d’autres plus récemment engagés, ayant suivi de nombreux modules de formation professionnelle, généralistes ou spécialisés sur la question des archives.
Les Musiques de la Boulangère
Les activités sont multiples et ne concernent pas uniquement la numérisation d’archives sonores. Pour information et pour témoigner de la transversalité de ses compétences, les activités sont de trois ordres :
a. Production artistique
Une activité importante de la structure est de produire des œuvres musicales contemporaines et d’en organiser la diffusion, à travers de multiples représentations tant en France qu’à l’étranger.
b. Mémoire, archivage
Plusieurs preneurs de son ont mis en œuvre, au sein de la structure, la constitution au long terme de mémoires sonores, principalement de lieux de travail (Usine Renault, Centre de Recherche du Gaz de France, Gallay, Puiforcat, Hermès, Hôpital Delafontaine de Saint-Denis, les Archives Nationales, l’Usine PSA de Saint-Ouen, les imprimeries de la DILA, les rotatives Riccobono...) mais aussi à la demande de villes (Arras, Lyon, Saint-Denis…) ou d’organismes divers (collections de voix, événements…).
c. Études, recherches
L’association a mené un grand nombre de travaux théoriques sur des sujets touchant au son ou à la mémoire sonore pour le compte des ministères de l’Environnement et de l’Équipement, et réalisé un programme pédagogique « d’éveil à l’écoute et à l’environnement sonore » pour les ministères de l’Éducation Nationale et de l’Environnement.
d. Editions (sélection)
• Le Sens de la peine. État de l’idéologie carcérale, préface de Madeleine Rebérioux, Lignes-Léo Scheer, 2004
• Le travail incarcéré.Vues de prison, Syllepse, 2009
• L’Ouïe des villes. Récits d’un écouteur public, Les Productions du EFFA, 2023
• Le Studio du Temps. Ruptures, travail, créations : desserrer l’étau, postface d’Etienne Balibar, Lignes, 2024
Historique
Depuis 1991, l’ association Les Musiques de la Boulangère a répondu, en matière de duplication, de traitement du son ou de numérisation d’archives audio, aux commandes :
• de la phonothèque de l’Ina – de 1992 à 2024, (avec une reprise d’antériorité il y a quelques années pour le compte de l’Inathèque), sur des quantités passées, qui ont oscillé entre 7000 h et 11 000 heures annuelles.
• des Archives Nationales (de 2017 à 2024)
• des Archives du Département de la Loire Atlantique (2024)
• du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon (de 2017 à 2022) avec découpages documentaires, fournitures de fichiers spécifiques...
• du Musée d’Orsay (avec traitement thermique spécifique)
• de la Bibiothèque Kandinski du Centre Pompidou (avec traitement thermique)
• du Conseil Régional des Pyrénées Atlantiques
• du portail de la musique contemporaine (Sacem/Ircam/Cdmc…) : pour les archives des concerts de l’ensemble Ars Nova, l’ensemble Orchestral Contemporain, les ensembles l’Itinéraire, Aleph, Voix Nouvelles, 2e2m, les Percussions de Strasbourg,
• de l’ensemble « Les Arts Florissants » dirigé par William Christie (2010 à 2011)
• du Centre de Documentation de la Musique Contemporaine (Sacem) – 2005 à 2014
• du conseil général de l’Indre – 2010 à 2011
• de l’Université des Antilles et de la Guyane / CADEG-CNRS – 2010 à 2011
• du compositeur Georges Aperghis – 2008
• du Conseil Régional du Béarn – de 2007 à 2008
• du Musée de l’Homme – de 2002 à 2008
• du Musée National des Arts et Traditions Populaires - de 2000 à 2007,
• du Conseil Régional de Picardie – de 1999 à 2006,
• de la ville de Cergy-Pontoise – de 2001 à 2006,
• de la Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme – de 2000 à 2005
• du ministère de la Justice – de 2004 à 2005 (entretiens de magistrats ayant servi pendant la guerre d’Algérie),
• du Fonds pour la Mémoire de la Déportation et du Centre Historique des Archives Nationales – de 2004 à 2005,
• du CRBC de Bretagne – de 2001 à 2003,
• de la phonothèque de la Bibliothèque Nationale – de 1995 à 1996,
• ainsi qu’en matière de prestations sonores diverses, à des commandes de la Grande Arche de la Fraternité, du Festival de Saint-Denis, de France-Culture…
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